Jacques Amédéo et moi nous sommes retrouvés cet hiver avec un journaliste de Voiles Magazine à l'occasion de la mise en vente de son bateau, Nambas, un X332 Sport. De magnifiques photos ont été prises lors de cette sortie en mer par bonne brise et ciel couvert avec de belles éclaircies.
Souvenirs, souvenirs...
vendredi 24 janvier 2014
samedi 18 janvier 2014
Des Bretons dans le Jura ou le premier séminaire de SEABISCUIT !
Week-end du 10-11-12 janvier
Maintenant que l’entreprise SeaBiscuit est créée et que le projet se concrétise, il est important de réunir l’équipe, composée d’amis, qui depuis le début ont travaillé sur mon projet.
Maintenant que l’entreprise SeaBiscuit est créée et que le projet se concrétise, il est important de réunir l’équipe, composée d’amis, qui depuis le début ont travaillé sur mon projet.
Destination : Chapelle des
Bois, dans le Jura. Surnommé « La Petite Sibérie » et réputée pour
ses stations de ski de fond, cette
région est la plus froide de France…
Heureusement, la météo est clémente : soleil magnifique et peu de
neige. Nous y retrouvons mon ami Pierre
Yves, notre spécialiste voiles, qui y habite.
Le temps d’un week end, nous récapitulons le chemin
parcouru et mettons en place le planning de l’année qui vient. Chaque membre de
l’équipe est concerné par une partie du projet :
Maurice, ancien chef d’entreprise
et consultant en management, est coordinateur du projet, et s'occupe aussi de la communication
interne et de la gestion des aspects administratifs, financiers et juridiques.
Olivier, dirigeant d’une boite de
communication est notre responsable com’ : il coordonnera les actions de
communication et s’occupera de gérer l’image de « Juliette sur la route du
rhum » ! Tout un programme .
Pierre Yves, musher et ouvrier
voilier est notre responsable voiles. Il sera aussi équipier lors des régates.
Gwen, formateur à l’Ecole
Nationale de Voile et skipper des Pen Duick, sera le coordinateur entrainement
sur le bateau. Il préparera le planning d’entrainement et prendra une part
active dans mon apprentissage et mon entrainement.
Et voilà : l'équipe au complet !
lundi 13 janvier 2014
Création de l’EURL SEABISCUIT
Pour concrétiser les échanges
avec les sponsors, je crée ma société SeaBiscuit ( « Biscuit de
Mer » : c’est le nom d’un cheval de course célèbre dans les années
1930 aux Etats-Unis). En fin d’article, plus d’infos sur l’histoire touchante
de ce petit cheval.
Donc, pour créer mon entreprise,
je dois me rendre à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Vannes. Coup de
chance, elle est à 2 pas de chez moi ! J’y retire le dossier de création
d’une EURL.
Aidée de Maurice, nous
remplissons les nombreux formulaires demandés et j’ouvre un compte en banque au
Crédit Agricole de Vannes. J’y dépose le capital de 5 euros correspondant à la
somme que m’a donné mon premier sponsor, le bar Le Kastell An Deol sur l’île de
Molène.
Ce billet est symbolique puisque c’est sur cette île, qu’aidée de 2
amies, j’ai lancé ma campagne de soutien avec les animaux. L’enthousiasme des
locaux m’a conforté dans mon idée de communiquer sur mes 2 passions : les
animaux et la voile.
2ème étape de la création
d’une EURL : je verse une jolie somme
pour la parution de l’annonce légale. Un petit encart dans le Ouest France du
samedi 11 janvier m’apprend que la société est bien créée.
A mon équipe et moi, désormais,
de la faire fonctionner au mieux !
SEABISCUIT : un
« outsider » de légende
Pur sang de course américain, né
en 1933 dans le Kentucky, SeaBiscuit est
un cheval dont le modèle et l’attitude ne laissent présager en rien de son
avenir.
Petit, avec de mauvais aplombs,
il se signale surtout par son apathie. A 2 ans, après 35 courses et 5
victoires, il est vendu à un riche entrepreneur. Celui-ci le confie à un
entraineur peu connu, Tom Smith, qui remarque rapidement l’immense talent de ce
cheval. Il le met entre les mains d’un jockey qui traverse une mauvaise période,
Red Pollard, avec lequel Seabiscuit va s’épanouir.
Les victoires se succèdent et, en 1937,
Seabiscuit devient le cheval le plus riche des Etats-Unis, ayant accumulé plus
de 170 000 $ de gains. Cependant, il reste dans l’ombre d’un autre cheval,
War Admiral, grande vedette, au parcours plus classique et prestigieux. Les
journalistes font pression pour avoir un duel entre ces 2 chevaux stars.
Seabiscuit VS War Admiral :
le match du siècle
Une date est fixée pour le match
Seabiscuit-War Admiral : le 1er novembre 1938. Jamais une
course n’aura suscité un tel engouement. Venues des 4 coins du pays,
40 000 personnes se pressent à Pimlico et 40 millions d’Américains suivent
l’évènement à la radio, un score incroyable pour l’époque.
Sur le papier, War admiral est le
grand favori. Son aptitude à prendre des départs fulgurants doit avoir raison
de la longue accélération typique de son rival. Mais Seabiscuit a été bien
préparé par son entraineur qui l’a habitué à bondir dès qu’il entend la cloche.
Dès le départ, Seabiscuit prend
donc l’avantage sur War admiral. Et même s’il le laisse revenir à mi-parcours,
il repart de plus belle et s’impose de 4 longueurs. C’est la stupéfaction, le
match du siècle est remporté par l’outsider.
Il est sacré cheval de l’année et
son nom rentre dans la légende.
Encore aujourd’hui, Seabiscuit,
même s’il ne fut pas le plus grand champion de l’histoire, reste extrêmement
populaire du fait de son parcours hors du commun.
Son histoire a été récemment
portée à l’écran par Gary Ross : Pur Sang – la légende de Seabiscuit (2003).
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